Les deux organismes vont organiser, du 28 novembre au 1er décembre, la première édition de l’Africa digital academy, évènement destiné à l’appropriation des outils du digital.
L’Africa digital academy a été créée pour lutter contre la fracture numérique au Congo en permettant à des communautés et à des corps de métiers de s’approprier les outils du digital. Sa première édition, dédiée à la gente féminine, est organisée par Congo Web Agency, une agence en conseil de communication, et l’Association de Mpaka pour l’intégration et le développement (Amid). Elle connaîtra la participation des entrepreneuses ayant déjà une activité, une connaissance du web et des outils bureautiques ainsi qu’un ordinateur équipé pour recevoir une connexion Wifi. Celles-ci vont apprendre, pendant quatre jours, à créer, gérer et optimiser le contenu d’un blog professionnel, d’un site Internet dynamique ou d’une petite boutique en ligne avec WordPress.
Cette formation permettra aux participantes de gérer leur présence en ligne et de renforcer leurs compétences digitales. «Le but de cette édition de l’Africa Digital Academy est d’aider les candidates à créer un site Internet afin qu’elles puissent effectuer des gains de temps, de productivité mais aussi gagner de nouveaux marchés grâce à Internet. L’objectif est qu’elles sortent des quatre jours de formation intensive avec leur site interne en ligne. C’est pour cela que nous prenons des femmes qui sont déjà en activité. Tout ce qui ne relève pas du domaine sera pris en charge par notre partenaire l’Acnic. L’hébergement des sites sera aussi pris en charge par un sponsor ou mécène», a expliqué Kriss Brochec, présidente de l’Amid.
Outre l’entrepreneuriat féminin, thème de cette première édition, d’autres thèmes ont déjà été retenus pour les prochaines formations. Ils concernent, entre autres, l’administration publique, les artistes et les opérateurs culturels. Africa Digital Academy est un concept qui se veut flexible et exportable. «Nous voulons d’un concept qui peut s’exporter dans d’autres villes du pays et d’Afrique», a indiqué Kriss Brochec.
Notons que le concept Africa digital academy porte sur 9 objectifs de développement durable parmi lesquels la lutte contre la pauvreté, le genre et les énergies renouvelables. Les inscriptions à cet évènement et la formation sont gratuites. Les personnes intéressées peuvent en savoir plus sur le site : www.africadigitalacademy.org. L’évènement sera bouclé par une cérémonie de certification qui aura lieu le 3 décembre.
Cette formation permettra aux participantes de gérer leur présence en ligne et de renforcer leurs compétences digitales. «Le but de cette édition de l’Africa Digital Academy est d’aider les candidates à créer un site Internet afin qu’elles puissent effectuer des gains de temps, de productivité mais aussi gagner de nouveaux marchés grâce à Internet. L’objectif est qu’elles sortent des quatre jours de formation intensive avec leur site interne en ligne. C’est pour cela que nous prenons des femmes qui sont déjà en activité. Tout ce qui ne relève pas du domaine sera pris en charge par notre partenaire l’Acnic. L’hébergement des sites sera aussi pris en charge par un sponsor ou mécène», a expliqué Kriss Brochec, présidente de l’Amid.
Outre l’entrepreneuriat féminin, thème de cette première édition, d’autres thèmes ont déjà été retenus pour les prochaines formations. Ils concernent, entre autres, l’administration publique, les artistes et les opérateurs culturels. Africa Digital Academy est un concept qui se veut flexible et exportable. «Nous voulons d’un concept qui peut s’exporter dans d’autres villes du pays et d’Afrique», a indiqué Kriss Brochec.
Notons que le concept Africa digital academy porte sur 9 objectifs de développement durable parmi lesquels la lutte contre la pauvreté, le genre et les énergies renouvelables. Les inscriptions à cet évènement et la formation sont gratuites. Les personnes intéressées peuvent en savoir plus sur le site : www.africadigitalacademy.org. L’évènement sera bouclé par une cérémonie de certification qui aura lieu le 3 décembre.
Source: adiac-congo