(Restraweb)– C’est dans la journée d’hier du 07 mars 2018, que le ministre des Postes, Télécommunications et de l’Economie Numérique, Léon Juste IBOMBO a lancé le data center de l’opérateur téléphonique MTN Congo en présence du directeur général de ladite société téléphonique au Congo, Djibril OUATTARA, et des différents invités. Une manière pour MTN de soutenir l’économie numérique du pays mais aussi des acteurs économiques.
« Avec ce data center, MTN boucle ses infrastructures qui doivent faire d’elle le leader incontesté du secteur des télécommunications et des nouvelles technologies en proposant à nos clients à la fois des services de transmissions mais également d’hébergement des données », a renchérit le directeur général de MTN Congo.
Les data center sont d’une utilité importante dans le développement d’une économie numérique d’un pays, elle apporte la sécurité sur le traitement et le stockage des données.
Pour le ministre, nous sommes entrés dans l’ère de la consommation des technologies de l’information et de la communication (TIC) et que cela a totalement transformé notre quotidien. En ce qui concernent les data center, celui-ci évolue en disant : « Ils sont indispensables au développement de l’internet et considérés comme la pierre angulaire de l’économie numérique. Ces infrastructures garantissent la sécurité de nos données et avec le Big Data, le Cloud computing et la virtualisation, les data center deviennent de véritables usines numériques sur lesquelles repose toute économie ».
« Aujourd’hui, la société MTN-Congo a compris la nécessité d’investir et de disposer de cette infrastructure informatique incontournable pour sa compétitivité. Elle nous offre un centre de données qui permettra, entre autres, de bénéficier d’une plus grande efficience de son réseau à fibre optique et nous nous en félicitons », a-t-il ajouté.
Notons que dans le plan d’action de la stratégie de développement de l’économie numérique, il est prévu la construction d’un data center à Kintélé avec l’apport de la Banque mondiale.
Ecrit par Lionel NDJIMBI